Opinion du lecteur > Chroniques-Opinions

À l’approche du temps des Fêtes, un moment où la solidarité prend tout son sens, nous souhaitons rappeler l’importance de redonner à notre communauté et de soutenir les organismes qui jouent un rôle clé dans le bien-être collectif. À Lévis, ville reconnue pour sa coopération et son esprit communautaire, nous avons la chance de compter sur un riche tissu social, composé de citoyen-nes et d’organisations qui s’entraident et contribuent à bâtir une ville qui ne laisse personne derrière.

Comment qualifier le diabète de type 1 avec lequel je vis depuis 46 ans déjà? Une obsession.

Repensons Lévis s'intéresse aux finances municipales pour une gestion plus saine et transparente. Nous croyons en la participation citoyenne et l’intelligence collective, mais il reste des progrès à faire pour instaurer des processus de décision plus ouverts et collaboratifs, notamment avec les citoyen.ne.s, copropriétaires de la Ville.

Samedi dernier, au congrès de Repensons Lévis, nous avons eu la chance de réunir quatre femmes leaders engagées au sein du parti. Ce panel a offert un espace privilégié pour aborder des enjeux essentiels : l'inclusion, la parité, et le rôle des femmes dans notre sphère politique municipale. Ces impliquées inspirantes ont partagé leurs parcours, leurs défis et, surtout, leurs visions pour l'avenir de notre ville. À travers leurs témoignages, elles ont illustré les obstacles réels et persistants qui freinent encore l’implication des femmes en politique, tout en proposant des pistes concrètes pour bâtir un environnement où elles se sentent encouragées à «se lancer» et à «rester».

Vendredi dernier, j’apprenais, par voie de communiqué, que le Centre de services scolaire des Navigateurs fermait notre école de quartier, l’école Clair-Soleil située à Lévis (Saint-Nicolas) et qu’il procéderait à une relocalisation des élèves et du personnel. Quelle ne fut pas ma surprise d’apprendre par les médias, quelques heures plus tard, qu’on fermait ses portes pour plusieurs mois, voire pour le restant de l’année! J’imagine que je n’ai pas besoin de vous dire que nous nageons présentement dans l’incertitude et l’inquiétude concernant l’année scolaire de nos enfants.

Le clivage qui existe entre Montréal et le reste du Québec est une réalité politique évidente. La répartition des circonscriptions détenues aujourd’hui par le Parti libéral du Québec, Québec solidaire et la Coalition avenir Québec en est une manifestation qui devrait à elle seule suffire à convaincre ceux qui en douteraient.

Cet été, j'ai eu l'occasion de parcourir notre magnifique province, découvrant ainsi l'ampleur et la richesse de son patrimoine historique et culturel. Ce qui m’a particulièrement touchée, au-delà des paysages époustouflants, c’est la beauté des édifices religieux qu’on retrouve autant dans les petits villages que dans les grandes métropoles.

Depuis plusieurs années, certains organismes tentent de centraliser tous les soins hospitaliers vers l’Hôtel-Dieu de Lévis au détriment du Centre Paul-Gilbert de Charny. Au fil des ans, la majorité des départements furent fermés à Charny. Depuis quelque temps, le service ambulancier fut abandonné. Tout dernièrement, ce fut la fermeture temporaire des laboratoires, une fermeture temporaire pourrait bien devenir permanente comme ce fut le cas des impôts sur le revenu, ça aussi devait être temporaire.

En cette journée nationale des peuples autochtones, le comité Femmes de Repensons Lévis (RL) souhaite souligner l'importance de cette journée pour les Premières Nations et les Inuit au Québec, et insister sur la nécessité de promouvoir le vivre-ensemble au Québec en général, et à Lévis en particulier, pour cheminer main dans la main vers la réconciliation.

Les éditeurs de presse multiculturelle, communautaire, locale et nationale et les associations professionnelles, représentant des centaines de titres de confiance se sont réunies pour demander au CRTC d’établir des règlements relatifs à la Loi sur les nouvelles en ligne qui garantiront la cohérence et l’équité, maximiseront l’investissement en salle de rédaction, amélioreront la transparence et minimiseront les représentations trompeuses.

Impossible pour tout Québécois, de ne pas remarquer dans son village, dans son quartier, dans sa paroisse, un de ces temples érigés par nos prédécesseurs, en commémoration de l’objet de leur Foi intense et soutenue, sorte de pierre angulaire du développement historique de nos communautés.

Le 1er septembre 1939, mon père a 15 ans et s’apprête à retourner à son internat à Saint-Raymond-de-Portneuf au Québec pour poursuivre ses études secondaires. Fervent lecteur de la presse, il s’intéresse à l’actualité européenne, il comprend bien que la tension entre l’Allemagne et le reste de l’Europe arrive à un point de rupture. Il s’inquiète de ce qu’il lit sur Hitler, Mussolini et la montée du fascisme. Il a en horreur le mot «dictature», car il en a compris le véritable sens.

Vous n'avez pas encore posé le pied dans votre nouvelle maison que la ville vous intercepte : «Vous avez acheté une maison? Félicitations! Voici une taxe».

Durant la fin de semaine de la Journée nationale des Patriotes, est apparue dans les vitrines de certaines succursales de Caisses Desjardins, une affiche annonçant la fermeture de leurs bureaux durant ce congé férié, avec l’image du drapeau canadien!

J’habite le Vieux-Lévis depuis toujours. Je pense en connaître toutes les rues (et les deux ruelles). Malgré les apparences, l’école du quartier est l’une de celles qui a le plus haut indice de défavorisation de la commission scolaire. Son personnel dévoué doit jongler avec des enfants qui n’ont rien dans leur boîte à lunch alors que d’autres arrivent avec des souliers à 200 $. Rien de cela n’est nouveau.

La présente est pour vous indiquer que je suis en totale défaveur avec la démolition prochaine du Moulin Gosselin, sis au 3156, route des Rivières, à Saint-Étienne-de-Lauzon. Les raisons sont multiples. D'abord, il m'est inconcevable que pareil bâtiment historique, même s'il est déclassé patrimonial depuis 2013, soit démoli. Il est riche d'histoire, ayant appartenu à l'illustre peintre lévisien Albert Rousseau.

En ce début de la Semaine de la dignité des personnes assistées sociales du Québec, le Collectif de travail et d’actions contre la pauvreté (C-TA-C la pauvreté) souhaite témoigner sa solidarité et inviter la population à participer aux actions organisées à cette occasion.

Les journaux d’ici et d’ailleurs utilisent encore souvent le terme «communauté internationale» pour représenter un groupe de pays exprimant une prise de position ou un jugement à l’encontre d’un ou plusieurs autres pays. Seulement en avril, le terme s’est par exemple retrouvé quinze fois dans les pages du Devoir, neuf fois dans celles du Journal de Montréal et une fois dans celles d’Acadie Nouvelle.

Les journaux nous apprenaient récemment que la faim s’était intensifiée dans le monde en 2023 et que près de 282 millions de personnes dans de nombreux pays étaient ainsi confrontées «à une insécurité alimentaire aiguë» ou, pour l’exprimer de façon moins prosaïque, qu’elles étaient en train de mourir de faim…

Le constat se faisait déjà ressentir depuis plusieurs années, mais la situation est criante depuis la dernière année dans certaines régions au Québec et spécifiquement critique en Outaouais. À titre de président de l’Ordre des technologues en imagerie médicale, en radio-oncologie et en électrophysiologie médicale du Québec, dont le mandat premier est la protection du public, je me dois de réitérer nos préoccupations sur les impacts actuels et futurs de cette pénurie de main-d’oeuvre pour les soins de santé de la population québécoise.