Ainsi, en 2023, ce sont 40 hectares de terres qui ont été remis en culture par le biais de ce soutien financier. En moyenne, chaque entreprise a traité 4,27 ha. La plus grande superficie était de 8,1 ha et la plus petite de 2,09 ha.
«La vitalité d’une région passe par l’occupation de son territoire et la remise en culture de terres en friche est l’une des trois priorités de l’Entente sectorielle qui nous unit», a mentionné le directeur général de la Table agroalimentaire de Chaudière-Appalaches (TACA), Bruno Couture.
Notons que les sommes remises par la TACA proviennent de l’Entente sectorielle de développement bioalimentaire pour remettre en production des terres en friche.