Remis tous les deux ans, les Prix du patrimoine ont pour objectif de faire connaître les initiatives et les bons coups en matière de patrimoine sur le territoire lévisien. Ils sont une initiative de Culture Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches.

Dans le cadre de cette 10e édition locale de l’événement, ce ne sont pas moins de 12 dossiers de candidature qui ont été déposés par des personnes ou des organisations de Lévis. Ces candidatures touchaient la restauration de résidences patrimoniales, des publications, des expositions, la mise en valeur de pratiques traditionnelles et plus encore. Ce sont finalement trois lauréats qui ont été récompensés.

 Les gagnants

 D’abord, dans la catégorie Conservation et préservation, c’est la Société d’histoire de Saint-Nicolas–Bernières, pour la restauration de la chapelle de procession du Nord-Est, située au 1413, rue des Pionniers, qui a été choisie.

Dans la catégorie Interprétation et diffusion, Julie Suzanne Doyon s’est mérité le prix pour son livre Mission New Liverpool : l’histoire de sa communauté anglicane et de son église.

C’est le groupe le Rêve du Diable, qui fêtait cette année son 50e anniversaire, qui a été récompensé dans la catégorie Porteurs de tradition.

Enfin, pour le prix coup de cœur, ce sont deux projets qui ont été reconnus puisque ceux-ci avaient le même nombre de votes, une première pour les Prix du patrimoine de Lévis.

Guylaine Paradis, pour la restauration de la résidence du 46-48, rue Saint-Joseph, ainsi que Susie Lemay et Denis Pépin, pour l’album d’accordéons diatoniques Deux, ont été les deux projets retenus.